iciHaïti - Montréal, Festival Cinéma : Le documentaire haïtien «1964 : Simityè kamoken» à l’honneur

iciHaïti - AVIS Diaspora : Retard dans la livraison des passeport haïtiens en Espagne

iciHaïti - Union Europénne : Nouveau pont aérien humanitaire avec Haïti

iciHaïti - Météo : Un hélicoptère américain à destination d'Haïti effectue un atterrissage d'urgence à Monte Cristi

iciHaïti - Championnat Spécial D1 : Résultats complets des 8ème premières journées


+ de nouvelles


Haïti - Actualité : Zapping…

Haïti - FLASH : Coexistence dangereuse des détenus au CERMICOL

Haïti - Agriculture : 3,000 hectares de culture riz abandonnés en raison de l’insécurité

Haïti - Canada : La formation de la force multinationale en Haïti se poursuit en Jamaïque

Haïti - FLASH : Les USA rapatrient 52 haïtiens en Haïti…


+ de nouvelles



Haïti - Politique : «L'opposition sait où elle va» dixit J-C Moïse
12/10/2017 08:11:04

Haïti - Politique : «L'opposition sait où elle va» dixit J-C Moïse
Mercredi en conférence de presse, l’ex candidat défait à la présidence Jean Charles Moise, le leader du Parti de l’opposition « Pitit Desalin » a annoncé des modifications et de nouvelles dates de manifestations contre le pouvoir en place.

Manifestations dans le Sud, samedi 14 octobre, dans la Région métropolitaine le dimanche 15, dans le Nord lundi 16 octobre et une mobilisation générale sur l’ensemble du territoire le mardi 17 octobre.

Il a indiqué que c’est la dernière phase de la mobilisation visant à renverser l’équipe au pouvoir et affirmé à ses détracteurs que « l'opposition sait clairement où elle va » précisant qu’après « la démission » du Président Jovenel Moïse, l’opposition mettra en place un Conseil d’État composé de 11 membres. 1 pour chacun des département et 1 pour la diaspora. Ce Conseil serait chargé de réaliser les États Généraux de la Nation en vue de résoudre les véritables problèmes structurels...

De son côté Shiller Louidor, de Fanmi Lavalas annonce une intensification de la mobilisation sur l'ensemble du territoire.

SI le ton monte dans l’opposition, les récentes manifestations semblent avoir de plus en plus de difficulté à mobiliser des foules importantes, alors que les forces de l’ordre multiplient leurs interventions contre les dérives violentes de ces marches dites « pacifiques ».

HL/ HaïtiLibre

Twitter Facebook Rss
Envoyer l'article à... Nouvelles du Jour...
Read in English


Réagissez à cet article
Pseudo :
Email :

Votre adresse email ne sera pas divulguée - Commentaire refusé si votre adresse email est fausse


0 caractères saisis. | 1500 caractères restants.
Avant de réagir lisez notre charte de modération


rol
Posté le 12/10/2017 22:11:55
L'heure est à l'évolution haïtienne, non à la révolution dont parlent les leaders des différentes composantes de cette opposition, car ils ne défendent que leurs intérêts personnels et non les intérêts de la nation. Ils peuvent aggraver les plaies de notre Haïti plutôt que de les guérir. Une opposition constructive mène un pays vers la stabilité par une démocratie participative avec tous les citoyens conséquents du pays. c'est la manière de mener la bataille.
zopovin
Posté le 12/10/2017 21:09:23
Moise Jean Charles et ses accomplices ne font que deranger l'ordre publique. Il n'a rien fait pour le pays depuis le seisme jusqu'a nos jours. Il est temps pour qu'il commence a faire quelques choses de positif Du moins se retirer de la scene. Il empeche le pays de voir des jours meilleurs. Que l'État lui demande de rembourser pour les domages causes par les manifestants qu'il a initié. Assez c'est assez, qu'il nous donne la Paix.
Abel Mackenson
Posté le 12/10/2017 18:59:12
Jovenel Moïse est élu pour 5 ans. Il est un Président démocratique. Le conseil de 11 membres dont rêve Moïse J. C. est très loin de la démocratie. Jovenel doit beaucoup travailler afin que son parti PHTK garde le pouvoir.
lge
Posté le 12/10/2017 16:46:29
Il n'est pas possible de continuer à permettre à n'importe qui de réclamer impunément le départ d'un Président élu et de pousser une foule de personnes vivant dans la misère à manifester violemment dans les rues à cette fin. En démocratie tout se règle suivant des lois. Au nom de la démocratie, on ne peut pas par la violence obtenir l'interruption d'un mandat constitutionnel d'un Président élu. Il y a des procédures légales existantes pour démettre un Président de ses fonctions. Autrement, au nom de la souveraineté du peuple ont devrait étre capable de mettre fin au mandat d'un député ou d'un sénateur par la voie de manifestations de rue. C'est ça la démocratie à l'hatienne ?
 




Pourquoi HaïtiLibre ? | Contactez-nous | Charte de modération | Privacy policy | English
Copyright © 2010 - 2024
Haitilibre.com -n