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![]() Haïti - Élections : Programme de Eric Smarcki Charles 07/11/2010 09:06:24
Compte tenu de la situation catastrophique et lamentable dans laquelle vit la population haïtienne depuis tantôt 1986 et empirée par le séisme du 12 Janvier 2010, notre programme qui vise une amélioration substantialisée des conditions de vie de cette population. Comporte un ensemble de onze (11) axes stratégiques autour desquelles se reposent la reformation et la reconstruction de l’Etat d’Haïti dont la finalité est surtout la création d’emploi, outil le plus efficace pour lutter contre la pauvreté, l’exclusion sociale, l’analphabétisme, l’insécurité… Le passage oblige d’une décentralisation effective et d’une déconcentration efficace et éclairée du pays est surtout une volonté manifeste et politique au plus haut niveau de l’Etat en vue de subdiviser le pays en trois (3) grands pôles qui seront dotés d’infrastructures adéquates et modernes pouvant accueillir et absorber de grands investissements de capitaux étrangers ( électricité fiable, ports et aéroports internationaux, infrastructure routière reliant les grandes villes, et des mesures strictes de sécurité) Le grand Nord avec le Cap comme métropole, le Sud avec les Cayes comme métropole. Les 11 axes stratégiques pour la refondation de l’Etat d’Haïti sont les suivantes:
REFORME DE LA JUSTICE ET LUTTE CONTRE LA CORRUPTION Notre vision macro de la justice nous permet de Combiner ces deux facteurs qui sont indissociables et complémentaires. a) Notre présidence, soucieuse de la paix et de l’équilibre sociétale sera sensible à la distribution d’une bonne justice par les tribunaux. La constitution de 1987 a déjà trace les mécanismes de recrutement des juges à travers les collectivités territoriales. Cependant l’exécutif tend toujours à conserver le privilège de la nomination des juges une situation qui entrave l’indépendance du pouvoir judiciaire, mais aussi génératrice de toute forme de corruption. Les prescrits constitutionnels seront respectés à la lettre. La nouvelle loi, créant le conseil supérieur de la magistrature sera opérationnelle et des lois spéciales sanctionnant les mauvais comportements des juges seront élaborés. b) La justice sociale : pour que l’Etat puisse avoir les moyens de distribuer équitablement les richesses nationales à tous ses fils, la corruption doit être combattue. Les données nous montrent que les pays les plus corrompus sont aussi les pays les pauvres. La corruption au niveau des hauts fonctionnaires de l’Etat se pratique dans le but de gaspiller à l’étranger les fortunes du peuple haïtien. L’Etat a pour obligation d’empêcher aux particuliers de détourner les biens du peuple face auquel, il a la responsabilité d’améliorer ses conditions d’existence. La cour supérieur des comptes, l’ULCC et l’UCREF, seront mobilises a cette fin. CREATION D’UNE NOUVELLE FORCE DE SECURITE Une politique de sécurité publique ne tient pas seulement compte du travail de la police qui est celui du maintien de l’ordre à l’intérieur des villes. Si les frontières terrestres, maritimes et aériennes ne sont pas bien contrôlées, la sécurité intérieure devient un vœu pieux ou une illusion. Malgré les reproches adressées aux forces armées d’Haïti leur élimination apporte son cortège de malheur et rend difficile le contrôle des armes a l’intérieur du pays. Les armes à feu en provenance de l’étranger alimentent le climat d’insécurité en Haïti. Les actes de banditisme qui empoisonnent le climat social, les pertes en vie humaines et la méfiance créée par l’insécurité dans l’esprit de l’investisseur, rendent difficiles la relance économique en Haïti. Une situation qui mérite d’être corrigée par la mise en place d’une nouvelle force de sécurité pouvant colmater ces brèches. A quoi sert une politique criminelle si elle ne consiste pas à prévenir le crime. Le rôle de la police doit être plus dissuasif qu’interventionniste. La sécurité étant avant tout psychologique. Haïti face aux nations unies a un statut de territoire autonome a l’heure actuelle, notre diplomatie est très faible, les rapports de force ne jouent pas en notre faveur. On doit penser précautionneusement à la création d’une nouvelle force armée en mettant des balises pour l’empêcher d’intervenir sur la scène politique et accompagner le peuple sur le chemin de la démocratie véritable. MODERNISER L’AGRICULTURE Apres la destruction des produits exportables a la fin des années 70, Haïti un pays qui se dit essentiellement agricole, a une agriculture de subsistance. Face au déficit de la balance commerciale la dévaluation de notre économie et l’exode rural dû a un manque d’encadrement des paysans, si l’on veut être compétitif notre agriculture doit être modernisée, la nécessité fait loi. A ce carrefour ou nous sommes maintenant ou bien on disparait comme nation ou bien on fait quelque chose pour sentir que nous existons encore. Cette modernisation doit se faire et est possible seulement dans le cadre d’une bonne politique agraire. On doit noter que beaucoup de terre appartenant à l’Etat ont été appropriées par certaines familles parfois absentéistes, avec des faux papiers (don Boyer de 400 ou 500 carreaux de terre). Ces terres cultivables sont restées non cultivées. L’Etat doit prendre ses responsabilités en vue de poursuivre les faussaires en entament des procédures aboutissant au contrôles de ces terres. Ces outils oratoires : houe, machette, serpette etc.…ne sont plus de mise et doivent être remplacés par des machines agricoles. L’agriculture doit être pratiquée en Haïti par ceux qui ont des moyens, les autres deviendront des travailleurs comme aux USA, l’excédent de production sera exporté et l’industrie agro-alimentaire sera développée en Haïti. INFRASTRUCTURE ET TOURISME Ce sont les infrastructures qui donnent les premières impressions permettant de voir le niveau de vie de chaque peuple. Ces infrastructures attirent aussi les touristes qui par leur curiosité cherchent toujours a découvrir les valeurs cachées chez les autres peuples. Une politique touristique nécessite parallèlement de bonnes infrastructures. Avant de quitter son pays le visiteur doit avoir l’impression qu’il va être en sécurité la ou il va et pouvoir passer d’agréable moments. Ce n’est pas sans raison qu’on parle aujourd’hui d’industrie touristique tant qu’elle rapporte beaucoup d’argent. Certaines iles de la caraïbe comme Porto-Rico, Jamaïque, St Martin, Aruba et Barbade etc.…tirent immensément de profit dans le tourisme. Prenons, le cas d’Aruba qui n’a pas d’agriculture ni de grandes usines lui permettant d’être compétitif, cependant le touriste se sent chez lui a Aruba. Des structures d’accueil ont été mises en place pour accueillir les visiteurs qui sont sortis toujours satisfaits : les hôtels, les restaurants, les boites de nuit, le climat, l’accueil que nous réserve ce peuple donne envie de retourner une prochaine fois. Cependant Haïti à toutes ces possibilités suscitées il ne nous manque que la volonté politique. La terre d’Haïti peut offrir mieux qu’Aruba et d’autres pays qui en profitent. Notre présidence fera un grand effort en ce sens et créera des conditions indispensables pour le développement du tourisme en Haïti. NOUVELLE TECHNOLOGIE DE L’INFORMATION ET DE COMMUNICATION(NTIC) Haïti ne doit pas être en retard et ne pas pouvoir participer activement aux changements qui s’opèrent dans le monde actuellement. L’information est un pouvoir. Les belles et édifiantes images qui nous sont parvenues de l’extérieur grâce à la magie de la technologie et de la télécommunication moderne font des heureux en Haïti. L’Etat haïtien doit encourager les jeunes en ce sens, en octroyant des bourses d’études aux talents pour qu’ils puissent approfondir leurs recherches dans ce domaine. Face au dynamisme des affaires et la vitesse vertigineuse avec laquelle que se fait le commerce de nos jours, réclament à chaque peuple d’être au pas avec la modernité pour ne pas rater le train sans quoi on sera hors jeu on ne sera pas pris en considération et au sérieux. Le monde aujourd’hui roule et fonctionne à une vitesse éclaire. La mondialisation que veut transformer la terre en un seul village a besoin d’une telle structure pour asseoir ses tentacules. CULTURE ET ARTISANAT Culture au sens large et primitif c’est qu’on ajoute à la nature l’ensemble des manières de vivre ou de ses productions. Haïti sur le plan culturel dans cette zone est très puissante culturellement a une influence sur tous les peuples de la caraïbe. Pour avoir été le premier pays à rompre avec l’esclavage, elle devenait une terre d’asile pour tous les soulèvements et les rebelles qui sollicitaient de l’aide s’adressaient à Haïti pour se débarrasser de l’armée coloniale qui occupait leurs peuples. Sans compter, nos pratiques politiques qui consistent à exiler nos frères après avoir dirigé le pays. Les haïtiens sont partout dans la caraïbe. C’est ce qui donne toutes ces valeurs a l’artisanat haïtien dans la région malgré nos difficultés, la présence haïtienne est toujours vivace dans tous les pays de la caraïbe qui font le tourisme. La peinture haïtienne aussi alimente le marché touristique caribéen. L’Etat doit encourager la production artisanale en Haïti qui est une source de rentabilité et les peintres aussi qui contribuent à faire rayonner la culture haïtienne à l’étranger. LA SANTE Une situation sanitaire qui était déjà tellement grave atteint son paroxysme avec le séisme du 12 janvier 2010, avec la destruction de maisons, des bidonvilles qui deviennent impraticables, le camp des sinistres et des cadavres qui s’amoncellent dans les rues. Tout prouve qu’il y a risque d’une nouvelle épidémie. Notre cas pousse certains étrangers à surnommé nos hôpitaux «mouroir» c'est-à-dire là où l’on va mourir et non pour être traité (quel paradoxe). Le séisme a mis a nu la fragilité ou la faiblesse du système sanitaire haïtien. Un défi que notre présidence se propose de relever. L’Etat de sanitation est le reflet de la qualité de la vie de l’haïtien qui est exposé chaque jour au danger de certaines maladies. Pour enrayer cette situation, chaque commune doit avoir son centre de sante ayant au moins 5 médecins (Gynécologue,-accoucheur, chirurgien, orthopédiste, interniste et dentiste). Une politique sanitaire qui va se baser plus sur la prévision, c'est-à-dire pouvant contrôler les risques de propagation des maladies. Il y aura des agents sanitaires dans toutes les communes pour contrôler ce que les gens consomment dans les marchés, faire des recommandations aux marchandes, et dresser des rapports le cas échéant pour les acheminer au gouvernement. Le ministère de la santé publique va renaitre de ces cendres et doit pouvoir contrôler le fonctionnement des différents centres hospitaliers du pays en vue de satisfaire la population et la gestion saine de l’aide sanitaire qui est souvent détournée. L’EDUCATION Notre système éducatif a fait échec étant trop à la remorque du système français. Les gouvernements haïtiens ont imité servilement les français sans tenir compte des spécificités inhérentes à Haïti. Une réforme a été entamée en 1979 par le ministre Joseph C. Bernard, qui n’a donne jusqu'à présent aucun résultat probant. De mirobolants fonds ont été alloués au ministère de l’éducation nationale pour promouvoir cette réforme qu’on n’arrive pas vraiment à appliquer. L’Etat haïtien jusqu'à présent après 30 ans continue à organiser les examens du CEP et du BACC I défendus par le programme fondamental et aucune structure n’a été mise en place pour construire des écoles professionnelles prévues dans le cadre de l’application de ce programme. Beaucoup de lycées ont été construit sans pouvoir vraiment corriger cette situation. Nous accorderons la priorité à l’éducation qui est le moteur du changement. Un peuple est sous développée c’est parce qu’il est sous-éduqué. Tout en mettant l’accent sur l’importance de l’anglais de nos jours, le programme de 1979 ne peut pas être mis dans un tiroir, il doit être applique in extenso. INTEGRATION REGIONALE Haïti est rentré tête baissée dans la CARICOM sans se soucier des avantages comparatifs et des bénéfices qu’elle peut tirer de concurrence, Haïti pouvait tirer d’affaire sur le marché caribéen, car on devrait avoir plus a offrir vue la densité de notre population et notre territoire qui est plus grand que beaucoup de pays de la CARICOM. Nous sommes en train de perdre toutes ces possibilités, c’est la république dominicaine que nous avons supporté la candidature qui veut en profiter avec son statut d’observateur. L’instabilité politique a coûté cher a Haïti. Le problème de la discipline collective qui a pour base le problème de la conscience collective doit être résolu en Haïti sans quoi notre position sera toujours faible vis-à-vis de l’étranger, car c’est notre faiblesse qui fait leur force. Pour être compétitif il faut produire. La mondialisation, ou, régionalisation fait des exigences, Haïti doit pouvoir s’organiser pour affronter cette réalité au seuil du nouveau millénaire. SUR LE PLAN ENERGETIQUE Il n’y a pas de développement sans électricité. Lénine l’avait tellement compris qu’au départ de la révolution Russe en octobre 1917 dans des premières déclarations à la presse, il relatait l’importance de l’énergie. Aujourd’hui tous les pays en voie de développement cherche a se doter de centrale nucléaire civile pour augmenter leur capacité de production en énergie en vue de satisfaire leur population, encourager les investissements et accroitre la production. Haïti dans ce contexte international, doit pouvoir exploiter aussi les différents types d’énergie (scolaire, éolienne etc.…) car un pays qui fonctionne sur la base du rationnement d’électricité, décourage les entrepreneurs et industriels qui voient augmenter leurs dépenses en achat de carburant pour suppléer à la carence d’énergie. L’investisseur prend le risque mais pour le faire, il cherche toujours des garanties donc l’Etat haïtien doit jouer son rôle en mettant en place des structures fiables et viables pouvant créer une atmosphère de confiance. DEFICIT DE LA BALANCE COMMERCIALE Haïti accuse environ un déficit près de 250 millions de dollars par mois qui est du au problème de la production nationale. La république dominicaine, pays limitrophe est le premier bénéficiaire de cette situation désastreuse. Cette décente aux enfers qui a débuté depuis au cours des années 60 ou Haïti était exportateur du sucre, café, cacao, pite, cisale etc.…et autosuffisant dans les denrées de base comme le riz, pois, mais etc.…le dumping pratiqué par le gouvernement américain en 1986 sur Haïti a détruit notre agriculture. Face a la mondialisation et la politique néolibéral, il faut produire pour être compétitif sans quoi on est a la merci de l’aide internationale qui est conditionnée en limitant nos marges de manœuvre. En important près de 300.000 millions de dollars chaque mois un petit pays comme Haïti ne pourra se développer, il devient trop dépendant de l’extérieur. Nous sommes devenus un peuple consommateur sans pouvoir d’achat, ce qui crée une situation d’anomie génératrice de crime et de violence. UNE STRATEGIE DE CROISSANCE ECONOMIQUE INTENSIVE L’économie haïtienne s’est enlisée dans un cycle de crises chroniques depuis des années 1980, ce qui a pour effet de renforcer le degré de paupérisation et de marginalisation de la population. En effet, le taux de croissance moyen du produit intérieur brut (PIB) est ressorti nul au cours de ces 30 dernières années, alors que le taux de croissance démographique s’est établi à 2,5% l’an au cours de la même période. Cela signifie que pendant les trois dernières décennies le pays n’a pas produit de richesse pour répondre aux besoins d’une population sans cesse croissante et aussi pour jeter les bases du développement économique et social de la nation. Avec un revenu par capitale de moins de 1000 dollars américains. Haïti est classé comme le seul PMA de l’hémisphère occidental et aussi comme l’un des pays les plus pauvres de la planète. La faiblesse de la production nationale et le manque de dynamisme des secteurs de l’activité économique réduit considérablement la capacité de création d’emplois. L’économie avec pour corollaire tin taux de chômage de plus de 50 % de la population active du pays. De plus, Haïti fait face a un déficit grandissant de sa balance commerciale et de l’effritèrent de sa capacité à attirer les investissements directs étrangers. Une telle situation a eu de graves conséquences sur le bien être de la population qui, dans sa grande majorité, vit dans la pauvreté extrême de $us I par personne par jour et 76% ou près de 6,2 millions sur une population de 8,2 millions d’habitants vivent en dessous de la ligne de pauvreté de us$2 par jour. De plus, à l’incidence de la pauvreté abjecte de la population s’associe une forte inégalité. Haïti devance tous ses voisins de l’Amérique-Latine et de la Caraïbe avec un coefficient de 0,65. Donc, en Haïti, ii y a combinaison entre un revenu per capita faible et la plus forte inégalité dans la région. Ces différents faits constatés sont clairement reflétés dans tous les indicateurs socio-économiques du pays qui sont tous a un niveau très faible et inférieur compare aux autres pays de la région. SUR LE PLAN ECONOMIQUE Cette situation est devenue encore plus alarmante avec la catastrophe engendrée par le séisme du 12 janvier entrainant des pertes matérielles et humaines gigantesques. Face a cet état de fait et tenant compte du contexte actuel, notre objectif est de conjuguer tous nos efforts, pour renverser cette crise économique récurrente avec ses conséquences multiples sociales, pour engager le pays sur la voie du développement durable, en vue de créer et de distribuer de la richesse, pour l’amélioration du bien-être économique et social du peuple haïtien tout en protégeant notre environnement. Haïti possède sans contexte un ensemble de possibilité et d’opportunités qui moyennant une exploitation judiciaire permettraient de dégager les bases d’une augmentation de la richesse nationale et d’une redistribution dans un environnement de croissance et de stabilité politique. Pour atteindre ces objectifs nous mettrons en place les actions suivantes 1) Redynamisé le secteur privé des affaires par des mesures appropriées. 2) Réaliser des investissements publics de qualité dans les infrastructures de base de (route, ponts, aéroports, stades, etc.) 3) Encourager les investissements directs étrangers par des incitations fiscales, des reformes appropriées et le développement de zones franches industrielles. 4) Elargir les classes moyennes par la promotion de l‘entreprenariat, l’amélioration de l’accès au crédit bancaire et par la création d’opportunité économiques accessible a tous; 5) Etablir un cadre macroéconomique stable favorable aux investissements haïtiens et étrangers 6) Réduire la pauvreté par la création d’emplois, la mise en place d’un système de sécurité sociale; 7) Encourager l’innovation et la recherche scientifique en vue d’augmenter la productivité et donc la compétitivité internationale. LA GRANDE DECENTRALISATION
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