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Haïti - Actualité : Zapping électoral... 20/11/2015 13:24:50
Le Conseil Électorale Provisoire avec l'appui du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) et d'autres partenaires notamment le Ministère à la Condition Féminine et aux Droits des Femmes ont effectué un dialogue avec les femmes leaders autour d'un "Forum pour les femmes candidates aux élections du 27 décembre 2015 en Haïti - Leadership au Féminin" en marge de la réalisation des élections en Haïti. Clarens Renois se dit inquiet Le directeur du parti Union Nationale pour l’Intégrité et la Réconciliation (UNIR/AYITI-INI) a exprimé mardi, ses vives préoccupations par rapport à la situation qui se développe à travers le pays depuis la publication des résultats partiels de l’élection présidentielle. Clarens Renois, candidat à la présidence sous la bannière du parti (8,844 votes, 0.57%) , se dit inquiet pour l’avenir du pays et propose des pistes de solution de sortie de crise. Seulement des balles en caoutchouc selon la PNH Garry Desrosiers, Porte-parole de la PNH a indiqué que le 18 novembre les agents qui assuraient la sécurité des manifestations, ont seulement fait usage de balles en caoutchouc pour disperser la foule qui a tenté à maintes reprises de briser le barrage érigé par la police pour protéger les locaux du CEP, « Lorsque la police assure la gestion d’une foule, elle a la capacité d’évaluer la situation et prendre des mesures d’anticipation avant qu’elle ne se dégénère, » a t-il précisé. Rappelons que lors de cette manifestation les candidats à la présidence Steven Benoît,(Konviksyon) et Moïse Jean-Charles (Pitit Dessalines) ont été blessé à divers degrés. https://www.haitilibre.com/article-15822-haiti-actualite-zapping-electoral.html Poursuite de la mobilisation du G8 Au lendemain de la manifestation du 18 novembre, les membres du G8, ont à l'unanimité exigé la poursuite de la mobilisation des rues jusqu’à nouvel ordre. De plus ils condamnent avec la plus grande rigueur les actes de violence exercés par des unités de la PNH, alors qu'ils étaient au niveau du CEP à Pétion-ville. Me. Samuel Madistin du MOPOD a indiqué "Il s’agit là d’une dérive dangereuse exposant la PNH à la déconsidération de la population au profit d’intérêts inavoués. Nous exigeons que la police mette fin aux actes de répression." HL/ HaïtiLibre
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